Référendum pour l’aéroport Notre Dame des Landes : le « oui » doit l’emporter !
La décision de tenir un referendum local sur le transfert de l’aéroport de Nantes Atlantique à Notre-Dame-des-Landes reflète la maladie d’un État incapable de décider dans un dossier où toutes les procédures légales ont pourtant été menées à bien. Ce chantier devrait être lancé depuis longtemps.
Le débat sur son opportunité est désormais derrière nous, le referendum est lancé, il faut le gagner, et pour cela se mobiliser dans l’unité. Le Président de la République nous donne l’opportunité de décider à sa place et d’être maître de notre destin, saisissons-là sans ergoter. Un referendum sera plus utile et plus décisif qu’une pétition en ligne, opération de communication politique stérile et politicienne. Qui peut contester la légitimité d’un grand rendez-vous démocratique comme celui-ci ? Ceux qui le feraient perdraient toute crédibilité et toute légitimité. Aujourd’hui, tous les acteurs, favorables ou opposants, doivent accepter le principe du référendum, s’impliquer dans la campagne et s’engager à respecter les résultats quels qu’ils soient.
Hellfest : le premier prétexte aura suffi pour faire tomber les masques
Il n’aura pas fallu deux mois à la nouvelle majorité régionale pour montrer son vrai visage et renier ses engagements en matière de liberté culturelle.
Lors des débats télévisés de la campagne Bruno Retailleau s’était engagé à maintenir les subventions au Hellfest « sauf débordement ». Bien sûr, nous condamnons vivement les dérapages inacceptables du groupe Down le 22 janvier à Los Angeles, même si force est de constater que ce groupe s’est produit trois fois au Hellfest sans « débordement ». Tout porte à croire qu’il s’agit là d’un prétexte. Bruno Retailleau aurait dû appeler Ben Barbaud directement, au lieu d’agir par coup de communication médiatique. C’est comme cela que doivent se passer les relations de confiance entre la Région et les acteurs, notamment culturels, qui contribuent au dynamisme territorial.
Venue d’Emmanuel Macron à STX : « le symbole des beaux succès de l’industrie navale française »
Christophe Clergeau se réjouit de la venue d’Emmanuel Macron, aujourd’hui, à STX pour saluer les beaux succès de l’industrie navale française. C’est un nouveau signe de la mobilisation du gouvernement pour assurer l’avenir du chantier et des industries maritimes.
La confirmation par MSC de deux commandes complémentaires de paquebots de la classe Meraviglia vient renforcer la visibilité économique pour le chantier et ses PME partenaires. « Ces bonnes nouvelles doivent trouver une traduction plus forte dans l’emploi dans la filière », indique Christophe Clergeau.